Les ressources en eau en 3 classes ainsi que leur épuisement !

Amadou Diop ouvre la voix aux étudiants qui font des recherches et / ou des publications et qui n'arrivent pas à les promouvoir.

Amadou Diop

Qui est Amadou Diop?

Motivé par les défis sociétaux pressants, Environnementaliste de formation et extraverti, participer à l'éducation environnementale sera l'accomplissement de mes efforts. Car, seul un peuple conscient des enjeux mondiaux pourra s'adapter.
Tous Pour l'Environnement !

Indispensable à la vie animale comme végétale en général, L’eau est une denrée alimentaire de première nécessité que l’on veut incolore, inodore et sans saveur. Notre planète, constituée majoritairement d’eau d’où le surnom de planète bleue, voit paradoxalement ses populations être confrontées à un réel manque d’eau causant ainsi inexorablement la hausse de la morbidité comme mortalité (d’après l'Organisation Mondiale de la Santé).
Les eaux exploitées sur la terre proviennent de diverses origines et sont dites accessibles car l’Homme pouvant l’utiliser pour toutes ses activités y compris son alimentation, de même que les végétaux pour leur nutrition. Les ressources en eaux inaccessibles sont, quant à elles, prisonnières dans les banquises glacières et se retrouvent donc inutilisable à leur état solide.
Ainsi, elles sont regroupées en trois (3) classes dont chacune définie par ses paramètres naturels et son niveau de pollution :

1. Eaux superficielles :

Comme le nom l’indique, représentent toutes les eaux accessibles à la surface terrestre qu’elles soient pérenne ou non, stagnante ou en écoulement.
Elles regroupent océans, mers, fleuves, lacs, rivières, marigots…

2. Eaux souterraines :

Désignent les eaux contenues dans le sous-sol, et ce, peu importe la profondeur. Elles forment un très vieux réservoir d’eau douce (potable) de la planète dans lequel l’Homme s’alimentait à travers des puits. Les différentes utilisations de cette ressource vitale, dans le temps, ont provoqué une surexploitation des ces précieuses réserves d’où la baisse du niveau d’eau (tel un baril plein qui se vide au fur et à mesure) rendant l’exploitation plus difficile voire impossible dans certaines régions.
On les appelle aussi les nappes souterraines (captives ou libres).

3. Précipitations :

Provenant de l’atmosphère et précisément des nuages, elles sont plus communément appelées « pluies ». Inégalement réparties à la surface du globe, chaque pays a sa propre pluviométrie, qui elle-même varie selon les régions considérées et spécifiquement selon les bassins versants. Ainsi, il y’a des zones plus humides que d’autres dans un même territoire. Cependant, le contexte climatique mondial accentue cette hétérogénéité spatiale et aussi impacte le régime des précipitations d’où des régions de plus en plus sèches et d’autres de plus en plus humides. La recharge des nappes était assurée par l’infiltration d’une partie de l’eau précipitée, donc de façon naturelle, mais depuis quelques années l’on se retourne vers des recharges artificielles et surtout des restrictions quant à l'exploitation des eaux souterraines.
Les principales ressources hydriques sont limitées en quantité comme en qualité d’où l’enjeu de leur gestion pour assurer la pérennité de la vie sur terre.
L’accroissement démographique mondial assez conséquent surtout dans les pays en développement fait que la demande eau a littéralement explosée, impliquant une forte exploitation de nos ressources, qui par conséquent suivant ses capacités, arriveront à épuisement dans un avenir proche. A la baisse de la disponibilité de l’eau, le souci de la qualité perdure car on ne peut parler de « potabilité » sans cette dernière.

Les autorités, évidemment, par réaction et d’autres par anticipation, prônent différentes mesures pour limiter les impacts de cette manque d’eau à travers des plans et programmes nationaux et internationaux.

Ainsi relever le défi de la gestion des eaux devient une priorité pour l’humanité mais également explorer de nouvelles sources notamment pour satisfaire la demande en eau (surtout potable) reste un impératif.


N’y a-t-il pas d'alternatives quant aux ressources hydriques superficielles exploitables ?

Bonus:

Les principales ressources hydriques sont limitées en quantité comme en qualité d’où l’enjeu de leur gestion pour assurer la pérennité de la vie sur terre.

Il existe plusieurs types de nuages (10 selon l’Organisation Mondiale de la Météorologie), classés en fonction de leur forme et l’altitude à laquelle ils se forment.
Le niveau moyen de la mer est considéré comme le niveau zéro des mesures d’altitudes.
Le stress voire même la pénurie hydrique est à l’origine d’exode massif, de tensions sociales, de pertes de biodiversité ainsi qu’un important couvert végétal, de la baisse de rendement des récoltes…
Sans la qualité (microbiologique) de l’eau requise, les maladies hydriques gagneront du terrain mais à l’inverse avec un traitement approprié le coût d’achat sera important et donc se répercute sur les factures.
Aux gouvernements de trouver le juste milieu pour le bien-être de leur population.